Fait chier
Je suis lasse, épuisée. C'est physique, c'est mental. Je ne leur fais pas confiance alors assume toutes les responsabilités. Au moins si plantade il y a je ne commettrai aucun meurtre. Peut-être un suicide mais c'est un moindre mal. Je les sous-estime. Je ne me crois pas meilleure, j'évite seulement de passer une crise de nerfs sur leurs faces souriantes.
Comme à l'habitude, tout me gonfle. Non pas qu'un quelconque sort ne s'acharne contre moi (je ne crois pas au destin), mais une somme d'événements foireux trop proches les uns des autres peut vite vous faire péter un câble. Ce n'est que d'ordre mineur quand j'y réfléchis, mais quand on y pense 18 h sur 24 h, ça finit par prendre des proportions gargantuesques dans le coin du cortex consacré.
Et me revoilà : me servir de ce blog comme d'un crachoir à merde. Fait chier. Oui, je suis grossière quand en colère, malheureusement mon manque de vocabulaire bigarré m'empêche de longues élucubrations en alexandrins dans la langue du charretier. Dommage.
J'y retourne.