Futur sur le retour
Chloé m'a tuer
Assauts répétés à l’incesticide sur le pistil pur cristallin le pétale vierge et intouchable (les éphémères meurent à tout contact) fragilité de l’hymen fleuri printanier attaqué sauvagement par une toxicité jusqu’alors inconnue acide destructeur flash delirium se trouver au milieu d’un champ sans savoir pourquoi. Trou noir béant puits sans fond de l’ignorance apeurée poreuse au petit matin goutte de sueur froide au parfum léger volatile ange en pleurs larmes diabétiques.
Influence Delaume. Chloé m’a tuer. Style acéré lame aiguisée comme dans du beurre aucun obstacle tout se bouscule. Anarchie des mots ponctuation minimum pour un commun des mortels vite égaré, miettes pour les orphelins.
Chloé l’insidieuse s’insinue bouffe ma plume impose la sienne. Elle m’enferme poupée russe et me digère Pacman. Si Boris s’y met j’étoufferai compressée étau magnifique vérité sublimée brute coquette or plaqué airain.
Ne pas s’attribuer ces façons d’amener jolies choses reconnaître trafic d’influence économie souterraine intraveineuse trocs dans le sentier limbique périph’ coronaire encombré c’est l’heure de pointe. Fondations branlantes d’aide à forger personnalité tortueuse architecture contemporaine inspirée modes séculaires. Petits bouts d’autre pour construire un soi, rien de neuf seulement de la récup’, assemblage une maille dessus une maille dessous tricotin couleurs bien connues mais modèle unique. Toujours du mal les premières fois, trous miteux b(r)aillent entraînement. L’araignée foire toujours ses premières toiles.
Peu de textes que je peux relire sans grimacer :
celui-ci est un cas particulier. C'était là.